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Santé et menus
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Nutrition & santé

Nos repas

Préparés et cuisinés à l'école par notre chef-coq.

 

Prix d'un repas : 3,74€ en maternelle - 4,28€ en primaire

 

La seule boisson autorisée aux repas et aux goûters est l'eau.

 

 

Objectifs de l'école de Messidor :

 

° Redonner l'importance à la saveur des aliments

° Augmenter la présence des fruits et légumes dans les menus

° Utiliser des produits de l'agriculture biologique

° Maîtriser l'utilisation de la matière grasse

° Favoriser les aliments riches en Oméga 3

° Maîtriser la consommation du sucre

° Réduire les déchets : il n'y aura notamment plus de biscuits emballés individuellement. Les desserts de cet ordre sont proposés en vrac. 

 

Les produits sont commandés à la firme TCO qui s'engage à respecter la charte suivante :

 

1. 80% des fruits livrés portent le label Bio.

2. 100% des fruits exotiques portent le label Bio.

3.  95% des pommes et poires portent le label Bio.

4. Les saisons, en ce qui concerne les fruits et légumes, seront respectées à 70%.

5. Les huiles et matières grasses en préparation chaude : Bio à 40%, en préparation froide : Bio à 50%.

6. Toutes les bananes et céréales de type quinoa et boulgour : Fairtrade et Bio.

7. Les légumineuses et  autres céréales : Bio à 80%.

8. Les légumes sont certifiés bio à 30%.

9. Les produits laitiers sont certifiés bio à 40%.

10. Les oeufs proviennent de poules élevées au sol et sont bio à 80%.

11. Les pommes de terre proviennent d'origine locale, bio à 20%.

12. Les viandes sont labelllisées bio à 10%.

13. Les poissons sont labellisés MSC à 100%.

14. Les herbes et épices sont labellisées Bio à 40%.

15. Le pain est labellisé Bio à 30%.

16. Le sel de mer est utilisé avec parcimonie.

17. Suppression des biscuits contenant de l'huile de palme.

 

 

Le potage

 

Entièrement cuisiné à l'école, le potage connaît un nouvel engouement.

 

Du beurre, des légumes et de l'eau en font un breuvage frais du jour et d'une qualité exceptionnelle dans un établissement scolaire.

 

Le potage est le premier apport de légumes et par conséquent de sels minéraux et de vitamines.

De plus, des herbes ( coriandre, persil, cumin, ... ) sont systématiquement utilisées et font redécouvrir des saveurs méconnues des enfants.

 

Les enfants aiment le potage mais boire un bol d'une quantité normale pour leur âge, leur coupe l'appétit pour le repas et le dessert.

Aussi, le potage est proposé en collation à 10h10 aux enfants de l'école maternelle en remplacement des collations 

systématiquement trop sucrées.

 

Ne soyons pas sectaires ! Il y aura toujours la semaine de la gaufre ou l'une ou l'autre action qui changera quelque peu nos habitudes...

 

Depuis le mois de septembre 2019, ce projet est malheureusement abandonné à l'école primaire à cause du décret gratuité qui ne nous permet plus de facturer d'autorité un potage aux enfants...

Les enfants de l'école primaire inscrits aux 'repas chauds' bénéficieront d'un potage avant leur repas mais à midi.

Il y a aussi ... Box Bunny

Solution à valeurs écologiques et biologiques. testée.

 

www.boxbunny.be

Indépendant, non géré par l'école !

Allez voir leur site !

Le goûter de 16h

 

 

Préparé par vous, parents.
La collation doit remplir les conditions suivantes :

- collation ZERO DECHET : absence totale de tout emballage.

   La collation doit se trouver dans une boîte hermétique, "prête à manger".

- les fruits et légumes doivent-être pelés et découpés " prêts à manger ". 

La pharmacie de l'école

Nous serons amenés à soigner vos enfants et leurs petits bobos.

Si aucun médicament ne peut être administré à l'école sans un certificat médical et une posologie précise, voici les produits composant notre pharmacie :

 

a. usage externe :

- Cedium spray : spray désinfectant de plaies

- Euceta : pommade à base d’arnica pour hématomes, piqûres, rougeurs…

- Euphrasia : collyre pour les yeux

- Flammazine : pommade contre les brûlures

- Arnica gel : pommade pour entorses, foulures, ...

- Stick Arnica : pour les bosses

- Homéoplasmine : pommade désinfectante et cicatrisante

- Sérum physiologique : nettoyage des yeux et du nez

 

b. usage interne :

- Arnica : granules à laisser fondre sous la langue si choc ( c/hématome )

- Carbobel : granulés en cas de gastro entérite, infection des voies digestives et urinaires ( = charbon de bois )

- Perdolan enfants : si fièvre au-dessus de 38° ou forte douleur

- Nux Vomica ( homéopathie ) : aigreurs d’estomac

- Thymotabs : pastilles à sucer à base de thym ( maux de gorge ) 

 

                                                                      Aucun autre produit n’est utilisé dans les bâtiments.

 

ATTENTION ! Comme il vous l'a été clairement expliqué ( voir avis - risque d'accident nucléaire ), le Plan Fédéral d'urgence nucléaire a été actualisé en mars 2018.

Il a été fourni à l'école des comprimés d'iodure de potassium 65 mg. En cas de nécessité, l'école appliquera les injonctions du Ministère de la Santé Publique concernant l'administration de comprimés d'iode aux enfants.

Vous êtes tenus de prévenir l'école en cas d'éventuelle allergie ou contre-indication à la prise d'iode par votre enfant.

 

Le nettoyage des locaux de l'école 

 

Le nettoyage du bâtiment se fait à l'aide de produits écologiques qui portent le label GREEN CARE.

 

- Pour les sols : Floor & Surface cleaner - 2D Citronnelle désinfectant naturel à base de citronnelle

- Pour les vitres : Glass & Window cleaner

- Pour les surfaces : SD2000 PIN 

-  Le Dettol est utilisé avec parcimonie dans les sanitaires.

La sieste

 

En accueil et en 1ère maternelle

De +/- 12.45'/13.00' à 14.00'

 

Une bonne sieste... garantie d'une bonne nuit !

 

Quand il ne veut pas dormir le soir, nous avons vite fait d’accuser la sieste…

Trop facile et totalement injuste ! Car ce petit somme de l’après-midi est au contraire le garant d’une nuit réussie…

Les bonnes siestes font les bonnes nuits !

 

Il a trop dormi cet après-midi et maintenant, il n’a plus sommeil.

Déduction logique… et pourtant trop rapide. Sommeil de jour, sommeil de nuit entretiennent des rapports beaucoup moins conflictuels que nous le croyons et la sieste est l’alliée d’une bonne nuit… à certaines conditions :

 

Elle aide à s’endormir le soir :

Dormir pendant la journée permet tout d’abord à votre enfant de se reposer, de se détendre. La sieste met quasiment l’enfant hors de portée de l’insomnie, dit Pierre Fluchaire, spécialiste du sommeil, car grâce à elle, il va cesser d’accumuler la fatigue nerveuse si préjudiciable à l’endormissement.

Cette tranche de sommeil diurne est une nécessité biologique.

Un enfant qui ne dort pas pendant la journée alterne des phases de surexcitation et d’abattement. Il est tellement fatigué qu’il ne peut trouver le repos et en particulier le sommeil.

En faisant la sieste, votre petit va d’abord adopter une position horizontale pleine de vertus. Le simple fait de s’allonger lui permet de mettre au repos la partie de son cerveau mobilisée pour maintenir son corps en équilibre vertical, d’accorder du répit à certains de ses muscles contractés en permanence pour que sa colonne tienne droite, de soulager ses vertèbres tassées par la station debout ou même assise, de libérer sa circulation sanguine moins aisée à la verticale qu’à l’horizontale. Et surtout, votre petit dormeur va fermer les yeux, ces caméras qui captent à elles seules 80% des informations environnantes.

Son cerveau a besoin de lâcher prise dans la journée, au moins le temps d’un ou deux cycles de sommeil.

 

SI vous la proposez à la bonne heure !

Grâce à une bonne sieste, votre enfant devrait donc aborder la soirée calme et bien reposé, frais et dispos pour aller se coucher de bonne grâce, sans cris ni caprices… et se laisser gagner par le sommeil sans lutter.

Ce break se fait à un moment de son rythme biologique où votre enfant montre une baisse de rendement. Le plus tôt possible après le repas du midi est donc le mieux.

 

L’origine latine du mot sieste est « sexta hora », la sixième heure après le lever du soleil ce qui nous amène aux environs de 13 h.

Selon une étude menée à Besançon par le professeur Hubert Montagner, spécialiste du comportement du jeune enfant, les petits de moins de trois ans manifestent clairement leur besoin de dormir vers midi : succion du pouce, somnolence, frottement des yeux avec la main,…

Après 3 ans, cette phase d’assoupissement se décale vers 13.30’.

A vous d’observer votre enfant et d’adapter l’heure de son déjeuner pour qu’il termine celui-ci au moment des signes annonciateurs de la sieste.

 

Elle aide à bien dormir toute la nuit !

Après avoir facilité l’endormissement du soir, la sieste est également en mesure d’assurer un sommeil de bonne qualité tout au long de la nuit.

S’effectuant en sommeil lent profond, elle permet de ne pas avoir de déficit dans ce type de sommeil éminemment réparateur des forces physiques mais peu de la fatigue cérébrale…

Lors d’une carence en sommeil, c’est toujours le sommeil lent profond qui se récupère en premier, au détriment du sommeil paradoxal ( celui des rêves ).

Or, beaucoup de sommeil lent profond en début de nuit perturbe l’alternance normale des cycles sommeil lent/sommeil paradoxal, ce qui est la cause directe des terreurs nocturnes, explique Marie-Josèphe Challamel, responsable d’une consultation et d’une unité d’exploration du sommeil de l’enfant à Lyon.

 

Le petit enfant qui manque de sommeil sombre, dans la première partie de sa nuit, dans un sommeil trop profond, sans parvenir à l’alléger pour accéder à celui des rêves. Et c’est au cours de ce sommeil de plomb que les terreurs nocturnes ont toutes les chances de faire leur apparition.

A la différence des cauchemars qui réveillent l’enfant, les terreurs n’interrompent pas la nuit ( même s’il se débat, hurle, pleure, … ) et elles sont très éprouvantes pour les parents car on ne peut rien pour rassurer l’enfant qui ne nous voit ni ne nous entend.

Pour prévenir l’apparition de tels désagréments, veillez à ce qu’il ait bien son compte de sommeil…

 

Des études américaines ont montré que le sommeil de nuit ne pouvait être stable que lorsque l’enfant a été suffisamment éveillé durant la journée.

A partir de 2 ans, un enfant qui fait une sieste trop longue a de grandes chances d’avoir un sommeil de nuit fragmenté, de mauvaise qualité : il a « mangé » trop de sommeil lent ce qui va gêner le déroulement de la première partie de la nuit, elle aussi consacrée au sommeil lent.

Ne laissez donc pas votre petite marmotte dormir trop longtemps et n’hésitez pas à la réveiller si vous voyez que sa sieste dure trop longtemps. Entre 2 et 6 ans, la durée moyenne tourne autour de 2 heures.

Cela signifie que l’enfant enchaîne deux cycles de sommeil successifs. Veillez à ce qu’il ne s’embarque par pour un troisième !

Quand après 2 h de sieste vous l’entendez bouger, se retourner dans son lit, faites un peu de bruit et ouvrez la porte de la chambre. A cheval entre deux cycles, il se réveillera facilement et devrait même être de bonne humeur !

L’erreur serait de le réveiller en plein milieu d’un cycle, vous vous retrouveriez à coup sûr face à un inconsolable grognon.

 

Elle aide à aimer dormir le jour et la nuit…

La sieste donne le « goût » de dormir car elle autorise un temps de régression infantile en pleine journée.

Elle offre à l’enfant un espace de sommeil apaisant, assure Hélène de Leersnyder, pédiatre et responsable d’une consultation sur les troubles du sommeil à l’hôpital St Vincent de Paul à Paris.

De plus, le sommeil de la sieste ne connaît pas vraiment de troubles.

Comme elle se fait exclusivement en sommeil lent, elle n’est en principe dérangée par aucun rêve, encore moins par des cauchemars.

Le petit peut donc s’y abandonner en toute quiétude !

Une autre bonne raison d’apprécier ou de se réconcilier avec le sommeil : l’inquiétude de la séparation ne se manifeste pas ou très peu. L’enfant sait que sa mère ou la personne qui le garde est dans la pièce voisine ou dans la salle de sieste à l’école : il n’est pas séparé psychiquement par le sommeil de l’autre, poursuit le Dr de Leersnyder.

Vers 2 ans, l’enfant peut être tenté d’utiliser la sieste pour affirmer sa nouvelle autonomie. Faisant une mini crise d’adolescence, il ne veut plus rien de sa vie antérieure de bébé et refuse tout en bloc, y compris la sieste.

Dites-lui qu’il n’est pas obligé de dormir mais que vous tenez à ce qu’il s’allonge un moment après le déjeuner… il s’endormira dans les minutes qui suivent.

 

Pour en savoir plus :

- Les secrets du sommeil de votre enfant – Pierre Fluchaire – éd. Albin Michel

- Le sommeil, le rêve et l’enfant – Marie-Josèphe Challamel – éd. Albon Michel

- L’enfant et son sommeil – Hélène de Leersnyder – éd. Robert Laffont

 

N'oubliez pas leurs doudous !

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